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Le Jury a nottament apprécié l’entretien et le fait de garder l’esprit d’origine,
Le mât habillé d’or pour qu’il retrouve sa couleur de neuvage, ils ont aussi aimés que le bateau navigue autant.
Lors de la presentation, un grain est tombé, ce qui leurs a permis de profiter des banquettes du Loup et de converser plus longtemps que prévu. (Clotilde & Pierre ).
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parmi les Isles Anglo-normandes sans escale possible (Covid) entre Cherbourg et St Malo avec notre nouvelle équipière Clotilde
Nos deux Patrons Jean-Pierre et Philippe nous ont rejoins véhiculé pour valider les inscriptions et rencontrer nos futures concurrents.
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Pour la seconde, entre Chausey et Granville, le temps ne s’est pas arrangé et une bourrasque a explosé notre foc ballon, acheté d’occasion pour la Dhream-cup :-(
Soirée mi-Branle bas/mi-30 ans de la granvillaise au port du Herel
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avec un beau convoyage avec toute la flotte de la Bisquine Normande,
Manche 4 entre 3 bouées devant Cancale et Manche 5 avec un retour à St Malo
Soirée galette saucisse dans le jardin de la tour Solidor à St Suliac.
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Nos deux patrons nous quittent motorisé pour passer le couesnon.
Remise des prix à la Trinquette, Yacht Club de St Malo ( toutes les manifestations ont pu avoir lieu car en extérieur limité aux équipages et organisateurs )
Ce Branle bas de Régate est vraiment une belle fête maritime ou se côtoie plaisanciers, régatiers et professionnel,
avec toujours de belles rencontres tel que Philippe de Nan of Fife, Vincent de Fuji (ex Fujicolor 3) Morgan et Niels sur leurs class 40 respectif, les Rapetou granvillains etc ...
•Le Loup Rouge se place 2nd dans sa catégorie (Clotilde, Jean Pierre, Philippe B & Pierre )
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et rippaille à bord au catway, Merci a Véro, notre partenaire course au large. (Véro, Hélène et ses enfants, les deux philippe, Pierre & plus, bien plus encore ).
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Accueillis et félicités pour leur victoire en série classique par les membres de l’organisation dès son arrivée au port de la Trinité sur Mer, l’équipage du Maïca CNM de Cherbourg LE LOUP ROUGE devait néanmoins rentrer sans tarder en voiture sur Cherbourg, pour reprendre chacun ses occupations professionnelles.
Philippe était le seul à rester à bord pour convoyer LE LOUP ROUGE à Cherbourg avec Jean-Pierre qui l’avait rejoint.
Les deux patrons qui avaient été nommés par l'exploitant avaient décidé de faire un convoyage tranquille, tout en cabotage le long des côtes bretonnes et normandes.
Après 48 heures à bord, ils prirent la mer le 24 juillet, vent de face direction Belle Ile.
Sans rien dire à Philippe, Jean-Pierre qui tenait le livre de bord avait malicieusement inscrit P. Broquet comme Capitaine et lui équipier.
Après 3 heures de mer, une durite de notre vieux moteur Yanmar rendait l’âme. Ils firent demi-tour pour réparer.
Changer une simple durite paraissait tout simple mais après avoir fait tous les chantiers et magasins possibles de la Trinité, ils durent se résoudre à faire appel à la solidarité AMERAMI et ce fut en plein dimanche que Denis Courtier nous mettait en relation avec André Beguel dit Dédé, bien connu de tous les marins bretons pour avoir tenu pendant une longue carrière le chantier de La Trinité sur Mer. Très vite, il nous donnait de quoi remplacer notre durite et LE LOUP ROUGE pouvait enfin reprendre la mer.
Dès le lendemain, changement de programme car la météo n’était pas fameuse, LE LOUP ROUGE repartait finalement pour l’île de Groix afin d’y retrouver des amis de Carteret.
Après 10 heures de mauvaise mer et des grains incessants, ils arrivèrent vers 21 heures à Port Tudy dans son port bondé. Ils parvinrent à se mettre à couple pour rejoindre trempés jusqu’aux os le bord de SHAH, le POGO 36 d’Edouard Pinta où se succédaient les p’tits punchs ! Plusieurs amis de Carteret étaient là : Mathilde et Jean-Luc Lamotte qui avaient fait escale avec leur Dufour 34 « TANGARD », Alain Houchard et Philippe Porta dit plus communément « Pit » qui remontaient du sud avec leur Pogo 30 « MORNING GLORY ».
Bien fatigués, Jean-Pierre et Philippe ne tardèrent pas cependant à regagner leur bord pour une nuit bien méritée.
La météo s’était montrée plus clémente le lendemain et c’est sous voiles qu’ils prirent la direction de Loctudy où des amis de Philippe les invitèrent à dîner, un excellent repas chez des gens charmants.
Le 28 juillet LE LOUP ROUGE reprenait la mer pour une belle navigation malgré un épais brouillard. Au large de Guilvinec un voilier s’approchait un peu dangereusement pour demander assistance. Un cordage s’était pris dans leur hélice et les deux marins ne savaient pas trop quoi faire. Nous ne pouvions pas vraiment les aider dans cette mer assez formée et nous leur recommandions de se mettre à l’abri de la houle près de la côte pour mouiller et plonger afin de libérer leur hélice.
En fin de journée le brouillard s’étant levé, LE LOUP ROUGE parvenait dans le joli port de Camaret. Philippe demandait à l’accueil s’il pouvait se connecter à internet mais comme dans de nombreux endroits, cela semblait impossible ! L’escale était agréable et nous y avions retrouvé Pit et Alain avec leur POGO 30 « MORNING GLORY » . Après un excellent dîner à bord du Pogo, nous reprenions la mer de bonne heure le lendemain matin.
Nouvelle étape, c’est par une mer belle que nous partions vers le chenal du Four et la chaussée des Pierres Noires. Malgré un départ légèrement tardif car Jean-Pierre avait égaré son téléphone, nous pouvions néanmoins bien avancer au moteur faute d’un vent suffisant pour sortir de la mer d’Iroise. Nous avons profité de ces côtes sauvages et admiré les phares sur notre route. Au large de Porspoden, nous retrouvions le Pogo d’Alain et Pit qui faisait une route directe sur Carteret. Partis un peu avant nous, nous marchions 1 à 2 Nd plus vite que le Pogo. Après les avoir rejoint en pleine mer, nous leur avions donné un jerrican de gasoil car Alain n’était pas certain d’avoir une autonomie suffisante pour rallier Carteret.
Arrivés à Roscoff nous pouvions être sur le même ponton, juste à côté d’une bande de jeunes hollandais qui n’avaient pas franchement le sens de l’accueil. Etalés sur le catway c’est tout juste si nous pouvions descendre de notre bord ! Philippe n’était pas franchement content.
Après de bonnes bières et un dîner au restaurant du club, notre nuit fut excellente.
Dès le lendemain matin, nous reprenions la mer en direction de Tréguier par une mer belle. Magnifique navigation avec une entrée au près serré dans son estuaire qui nous avait permis d’arriver sous voiles. Après un dîner au restaurant du port, nous regagnions notre bord et à notre grande surprise, nous découvrions « IZI PIZI » le Pogo 36 de Monsieur et Madame FEREY, un couple charmant de Carteret qui partait en croisière dans le sud. Marion et Guillaume nous invitaient à prendre un p’tit punch à leur bord et nous en avons gardé un excellent souvenir, une de nos plus belles escales. Notre départ matinal fut un peu plus laborieux mais avec l’aide de Guillaume nous parvenions à nous dégager du catway.
Merveilleux paysages pour retrouver la mer et nous rendre dans le joli petit port de Trébeurden. Nous étions en train d’arriver dans le chenal lorsqu’une jeune femme venait sur un petit canot à la godille vers LE LOUP ROUGE pour féliciter l’équipage pour sa victoire dans la DRHEAM CUP ! Très discrète, nous ne l’avions pas revue par la suite, forts étonnés de ce chaleureux accueil. La ville était haute pour refaire quelques provisions et Jean-Pierre en profitait pour faire une jolie promenade. Le lendemain Philippe avait prévu de faire une escale à Saint Peter dans l’île de Guernesey mais cela fut impossible du fait de la COVID-1 9, alors ce fut une escale à Dielette, notre dernière escale avant Cherbourg.
Pierre nous rejoignait et c’est sous voiles que nous passions le raz Blanchard pour arriver finalement à Cherbourg en début d’après midi.
Ce périple de
Jean Pierre Pouchard, patron de LE LOUP ROUGE
Winner - juillet 2020
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La troisième édition de la Drheam Cup s'est tenu cet été, fin Juillet sur un parcours entre Cherbourg et la Trinité sur mer.
Sous l’égide sportive du Yacht Club de France, Ultimes, Multi 50, Class 40, Figaro 3, Open, IRC et Yachts Classiques ont rassemblés des équipages amateurs et les ténors de la course au large sur des parcours différents.
Deux Classiques étaient au départ, FAIAOAHE un Esprit Classique (2006 - 20 mètres ) de Remy GERIN et LE LOUP ROUGE Maïca CMN (1962 - 11 mètres ) de Pierre LEGOUPIL.
La course étant ouverte avec un rating JCH 2020 supérieur à 9.400, le Maïca, n’ayant que 7.4025 a bénéficié pour participer a une dérogation exceptionnelle.
Un départ retransmis en direct à la
Dans la nuit, la météo s’est dégradée, le vent et les courants sont devenus contraire pour passer la West SHAMBLES sous un pluie orageuse
Le lendemain permis de suivre le sud de la côte anglaise sous le soleil dans la fraîcheur.
Passant Wolf Rock, rencontre avec des dauphins de Risso et envoie du spinnaker Freki le loup rouge d’Odin, le dieu d’Asgard pour un bord de 15 heures jusqu’au waypoint sous le rail de Ouessant
En arrivant sous la petite Bretagne, le 65 pieds n'a plus que 33 miles d’avance sur son concurrent direct.
Au petit matin suivant Le Loup se retrouve tanker dans la pétole au dessus de Belle-Île et passera la ligne 10 heure après Remy et son fils.
A l’arrivée le comité de course accueille le dernier concurrent et vainqueur dans la catégorie Yachts Classiques et de traditions de la Drheam Cup 2020 : Le Loup Rouge après
Départ de la DrHeam-Cup 2020
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Yessss ! l'Alpha retrouve l'océan - 8 juillet 2020
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Il est l'or, mon sign'or
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Le reservoir de carburant moteur, prend l'air
Le Loup Rouge masqué
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Le Loup Rouge et son mât carbon de Fig2
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Lift port Chantereyne - 20 janvier 2020
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